23/07/2013

il est né, et il se nomme Jean-baptiste Ferrero

le royal baby est né mais qu'importe ce scoop qui date d'hier, de par le monde des princes de toutes nationalités ou confessions religieuses, il en nait dix à la douzaine, sachant que la seule fonction des êtres royaux est de se reproduire à l'infini comme une espèce de virus malsain qui gangrène l'histoire humaine depuis trop longtemps à mon goût... bref je m'égare...

Il existe une lignée, qui remonte à la nuit des temps, gavée de gaspacho et de tapas, qui aimait dit-on à dépecer des bestioles la tête en bas tout en philosophant sur le sort du monde, une lignée qui continue à s'accrocher à la face du monde comme une mouche sur le bord de la lèvre d'une belle : Cette lignée se nomme les " Ferrero " une espèce de club secret dont les membres sont parfois des pièces rapportées mais qui deviennent de gré ou de force des Ferrero : On nait Ferrero parfois, on le devient souvent.

Aujourd'hui 23 juillet est la daté anniversaire de la naissance de l'un des représentant de cette illustre lignée, j'ai nommé Jean-baptiste Ferrero . Fils d'Ernesto, lettré, fier et communiste, grignoteur de pistaches, et specialiste de l'agua limon, Jean-Baptiste Ferrero est écrivain ( et d'autres trucs très chiants ayant trait à la com'  dont je refuse catégoriquement de parler parce que c'est mon blog et que je suis chef ici :-) , écrivain donc, et accessoirement ( ou principalement j'hésite...) tourmenté, cherchant le sens de la vie ( c'est à gauche au fond du couloir, il ne veut pas m'écouter...) et chauve comme le cul d'un babouin ( il adore les comparaisons le tonton, il va être ravi je le sens )
Est-il tourmenté d'être chauve, de ne pas trouver une explication rationnelle à notre existence à tous, et surtout à celle des trous du cul qui ont filé quelques euros pour sauver l'ump, je l'ignore, car le Ferrero est un être difficile à cerner, et autant le dire tout de go, le Jean-baptiste Ferrero est un concentré de cette complexité ferreresque.

Lorsqu'un auteur fête son anniversaire, vous ne savez jamais quoi lui offrir, il a déjà tout : le talent, le charme inhérent à son statut de génial créateur, et parfois même un chapeau, qui est la touche finale de la tenue faussement décontractée de l'écrivain or donc, pourquoi cette logorrhée descriptive?
Aujourd'hui c'est donc l'anniversaire de Jean-baptiste Ferrero qui nonobstant qu'il est un oncle fuyant le téléphone comme la peste ( oui, l'auteur craint de perdre l'usage de ses petites esgourdes qui lui permettent d'écouter ses contemporains narrer leurs exploits existentiels, et je dois bien confesser qu'il est flanqué d'êtres chers certes aimants mais affreusement, et même pathologiquement bavards dans son entourage, c'est pas de bol, hein ? ), et malgré qu'il ne soit point l'être le plus démonstratif que je connaisse, est mon oncle préféré . Je le précise pas seulement parce qu'il est mon seul oncle, quoi que si j'avais une fouillitude d'oncles Ferrero, peut-être, je dis bien peut-être qu'il aurait eu à se battre au téléphone pour gagner la première place dans mon coeur de nièce, hein ?! La vie lui a facilité les choses de ce point de vue là, et il faut bien être une Ferrero pour parvenir à faire de l'humour sur ce sujet... d'ailleurs, precisons pour clore le douloureux passage sur cette histoire de téléphone ,
" Jean-baptiste, pourquoi diable es-tu toujours en train de cuisiner à l'heure où je téléphone, ou au choix en train de mariner dans ton bain ? why ?! why ?! " ( voilà ça c'est fait ! )

Quoiqu'il en soit lecteur, ce billet d'anniversaire est mon modeste cadeau pour jean-baptiste Ferrero dont tu vas de ce pas télécharger le polar " Mourir en août " publié chez l'excellent numerik livres qui est le Polar de l'été dit-on sur de nombreux sites littéraires. Ferrero manie la langue française comme personne, possède une bibliothèque qui a dévoré tout son espace vital dans son appartement et de ce fait a nourri son œuvre, et de surcroit est agrémenté de l'humour typiquement ferreresque qui a traversé les âges au sein de notre fameuse lignée pour parvenir jusqu'à toi, lecteur, quelle chance tu as !

Allez ! ne perd plus de temps ici, lecteur, mais 

rends-toi Là  afin de découvrir " Mourir en août " 

puis tu auras le droit de trainer sur le blog de Thomas Fiera,

le personnage principal de ce polar !

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